Mondial 2026 (Zone Afrique) : le Maroc accueillera les barrages des meilleurs deuxièmes à Rabat.

La Confédération Africaine de Football (CAF) a tranché. Dans une correspondance officielle datée du 9 octobre 2025 et adressée aux associations membres, l’instance dirigeante du football africain a confirmé que le Maroc abritera les barrages des éliminatoires africains pour la Coupe du Monde 2026. Le tournoi se tiendra à Rabat du 13 au 16 novembre 2025, et réunira les quatre meilleures équipes classées deuxièmes de leurs groupes qualificatifs.

Un format inédit et plein de suspense

Selon la CAF, le format de la compétition promet d’être aussi spectaculaire qu’imprévisible. Les neuf premiers de groupe obtiendront leur qualification directe pour le Mondial, tandis que les quatre meilleurs deuxièmes devront s’affronter lors d’un mini-tournoi à élimination directe afin de décrocher le dernier ticket africain pour les barrages intercontinentaux.

Cette ultime étape s’annonce particulièrement disputée : elle déterminera laquelle de ces sélections aura la chance de défendre les couleurs de l’Afrique face aux équipes issues d’autres continents pour arracher une place à la phase finale du Mondial, qui se déroulera au Canada, au Mexique et aux États-Unis.

Une mesure pour garantir l’équité sportive

Soucieuse d’équilibrer la compétition, la CAF a introduit une règle d’équité dans le calcul du classement des deuxièmes. Les résultats obtenus contre la dernière équipe de chaque groupe ne seront pas pris en compte. Cette disposition vise à harmoniser les performances et à éviter toute disparité liée à la faiblesse potentielle de certaines sélections.

Cette réforme, saluée par plusieurs observateurs, devrait offrir une évaluation plus juste du niveau réel des équipes prétendantes.

Un tournoi à haute intensité à Rabat

Le format des barrages s’articulera autour de deux demi-finales suivies d’une finale.

La première demi-finale opposera l’équipe la mieux classée au classement FIFA à la moins bien classée, tandis que la seconde mettra aux prises les deux sélections restantes. Les vainqueurs s’affronteront ensuite pour une finale sous haute tension, avec à la clé le précieux sésame pour les barrages intercontinentaux.

En cas d’égalité au terme du temps réglementaire, des prolongations seront disputées, suivies d’une séance de tirs au but si nécessaire. Chaque équipe pourra effectuer cinq remplacements, avec un sixième changement autorisé en cas de prolongation.

Le Maroc, nouveau centre du football africain

En accueillant ce mini-tournoi décisif, le Royaume chérifien confirme une fois de plus son statut de terre d’accueil privilégiée du football africain. Après avoir abrité plusieurs compétitions continentales majeures ces dernières années, le Maroc s’impose comme un acteur central dans la préparation du Mondial 2026, dont l’Afrique espère être dignement représentée.

Tous les regards seront désormais tournés vers Rabat en novembre prochain, pour une bataille qui s’annonce intense, symbolique et pleine d’émotions.

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Le Secrétaire général des supporters des Lions s’exprime avant Cameroun vs Angola.

À la veille du match décisif face à l’Angola, le Secrétaire général du collectif des supporters des Lions Indomptables, Abou Emmanuel, s’est exprimé devant la presse.

« Nous sommes là aujourd’hui parce que les Lions doivent se qualifier et retrouver la première place. Nous remercions les médias, les Camerounais et le staff administratif qui mettent tout en œuvre pour que le Cameroun soit à ce niveau. »

Abou Emmanuel a également tenu à souligner la ferveur et la mobilisation autour de l’équipe nationale :

« La Coupe du Monde 2026, organisée au Canada, au Mexique et aux États-Unis, est spéciale. Nous restons positifs et confiants. Les équipes de supporters venues de Douala sont déjà sur place. Nous sommes sereins et n’avons aucun souci. Pour ce match décisif, nous avons même plus de supporters que prévu. »

Éliminatoires CDM 2026 : le capitaine des Lions se montre confiant avant le choc face à l’Angola.

À la suite de la séance d’entraînement d’hier, le capitaine des Lions Indomptables s’est présenté devant la presse pour livrer ses impressions à l’approche du duel face à l’Angola. D’un ton à la fois posé et déterminé, il est revenu sur la préparation du groupe, soulignant la bonne ambiance et la motivation collective qui règnent au sein de la tanière.

« Comme vous le savez, tous les matchs sont importants, pas seulement celui face à l’Angola. On va faire le maximum pour gagner ce match. Concernant le groupe, il est solide, nous n’avons pas de pressions. Comme vous l’avez dit, le destin n’est pas entre nos mains… on verra si Dieu pense à nous », a-t-il déclaré.

Les Lionnes indomptables U17 ont livré une prestation encourageante ce vendredi soir à Kénitra, malgré une courte défaite 3–2 face à leurs homologues marocaines. Ce match amical, disputé dans une belle ambiance, a permis au staff technique camerounais de jauger le niveau de son groupe à quelques jours du dernier test avant le Mondial féminin U17.

Dominées en première période, les Camerounaises ont concédé deux buts avant la pause. Mais loin de se laisser abattre, elles ont su réagir avec caractère au retour des vestiaires. Tiwa Lys Fraîche a relancé la rencontre en transformant un penalty plein de sang-froid, redonnant confiance à toute l’équipe. Le Maroc a repris le large (3–1), avant que Tazanou Ange ne vienne réduire l’écart en fin de match, concluant une seconde période bien plus aboutie côté camerounais.

Malgré le revers, la copie rendue reste positive. Les Lionnes ont montré un état d’esprit combatif et une progression technique notable, signes prometteurs avant leur prochain rendez-vous face à l’Équateur le 13 octobre, ultime étape avant la Coupe du Monde Féminine U17 Maroc 2025.

Une défaite, certes, mais riche d’enseignements pour une génération qui apprend déjà à rugir.

La Confédération Africaine de Football (CAF) a officiellement mis à jour les critères de qualification des quatre meilleurs deuxièmes des éliminatoires africains pour la Coupe du Monde FIFA 2026. Une circulaire datée du 14 mars 2025, adressée à toutes les associations membres, fixe désormais un cadre clair pour éviter tout déséquilibre entre les groupes, notamment en cas de retrait d’équipes comme celui de l’Érythrée dans le groupe E.

Une clarification essentielle pour l’équité sportive.

Selon le document publié depuis Le Caire, les résultats obtenus contre l’équipe la moins bien classée de chaque groupe ne seront pas pris en compte dans le calcul du classement des meilleurs deuxièmes. Cette mesure vise à corriger les disparités entre les groupes de six et ceux réduits à cinq équipes. En cas de retrait multiple, la CAF appliquera les mêmes principes afin de garantir une comparaison équitable entre toutes les sélections encore en lice.

Une lutte serrée pour les quatre places de barrages

À l’issue de la neuvième journée, le classement actualisé des meilleurs deuxièmes montre un resserrement inédit en tête. Le Gabon occupe provisoirement la première place avec 16 points (+4), suivi du Cameroun (14 points, +9), qui profite d’une meilleure différence de buts. La République Démocratique du Congo complète le podium avec 13 points (+4), juste devant Madagascar (13 points, +3).

Le Cameroun en bonne posture avant la dernière ligne droite.

Grâce à sa victoire récente face à l’Île Maurice, les Lions Indomptables restent solidement installés dans le groupe des qualifiables pour le tournoi de barrage intercontinental. Leur différence de buts favorable (+9) pourrait jouer un rôle décisif en cas d’égalité de points. Cependant, la bataille demeure intense : le Burkina Faso, l’Ouganda et le Niger restent à l’affût, tandis que l’Afrique du Sud et la Namibie ferment la marche avec respectivement 11 et 9 points.

Une fin d’éliminatoires sous haute tension.

À quelques jours de la dernière journée, l’enjeu est colossal. La CAF, soucieuse de transparence, entend maintenir un cadre harmonisé pour que les quatre meilleurs deuxièmes accèdent à la phase de barrage continentale, ultime étape avant le Mondial 2026.

Les regards seront désormais tournés vers les rencontres décisives du mois d’octobre, qui scelleront le sort de plusieurs nations ambitieuses, dont le Cameroun, toujours déterminé à écrire une nouvelle page de son histoire mondiale.

Alors que l’Arabie Saoudite est officiellement désignée pour accueillir la Coupe du Monde 2034, de plus en plus de voix suggèrent que le calendrier initial prévu pour novembre-décembre 2034 pourrait être bouleversé. L’idée d’un report à début 2035 fait actuellement débat, notamment à cause du Ramadan, dont la période risque de coïncider avec des matchs décisifs.

Climat, calendrier religieux et contraintes sanitaires.

Le principal argument avancé pour un décalage du tournoi est culturel et climatique. Le Ramadan en novembre-décembre 2034 pourrait compliquer la tenue des rencontres : nombreux joueurs, officiels et fans observeront le jeûne, ce qui affecterait performances, logistique des matchs, puis horaires de diffusion. Par ailleurs, les températures très élevées en Arabie Saoudite vers les mois de novembre-décembre posent également un risque pour la santé des joueurs et des spectateurs, malgré les avancées dans la climatisation des stades. Une fenêtre alternative proposée serait janvier-février 2035, période plus tempérée et moins problématique sur le plan religieux.

Rumeurs et réactions internationales

Plusieurs médias sportifs, dont Saudi Gazette et DW, évoquent un possible réajustement du calendrier du tournoi. Bien que la FIFA n’ait fait aucune annonce officielle confirmant le report, ces discussions apparaissent dans les rapports d’évaluation liés à la candidature de l’Arabie Saoudite.

Des organisations de défense des droits humains, comme Human Rights Watch, soulignent que le rapport de candidature ne traite pas suffisamment certaines problématiques, telles que les deux grandes périodes religieuses (Ramadan, pèlerinage du Hajj) ou les conditions des travailleurs migrants.

Scénarios envisageables et enjeux pour les parties prenantes

Si FIFA décidait de repousser le Mondial à janvier-février 2035, plusieurs conséquences majeures s’ensuivraient : Ajustement des calendriers domestiques et continentaux, notamment en Europe où les championnats sont conçus pour s’interrompre l’hiver. Réorganisation des saisons de transfert, des compétitions de clubs, et des infrastructures d’accueil. Préparations logistiques intensifiées pour les organisateurs : logements, transport, sécurité, repos des joueurs, etc.

Saoudiens, instances de la FIFA et ligues nationales seront mis à l’épreuve de la coordination. Le coût politique du changement pourrait être élevé, mais certains considèrent que cela pourrait être la meilleure solution pour préserver l’intégrité sportive et le respect culturel.

Ce qui reste incertain

Le report officiel n’a pas été confirmé : aucune communication formelle de la FIFA ou du comité organisateur saoudien ne valide ce décalage. Le calendrier final et les dates exactes restent sujets à négociation, surtout en ce qui concerne les implications pour les ligues nationales autour du monde.

Les effets concrets du Ramadan sur des compétitions majeures comme le Mondial sont encore largement théoriques dans ce cas précis, même si des précédents existent (comme le Mondial 2022 au Qatar).

Depuis son arrivée à Levante, Karl Etta Eyong attire l’attention. En seulement huit rencontres de Liga, il a fait mouche cinq fois tout en offrant trois passes décisives, des statistiques qui en font une révélation du championnat espagnol. Retour sur les faits.

Manchester United, Barça, Real Madrid : tous sur ses traces

Les rumeurs vont bon train : Manchester United serait déjà passé à l’action en envoyant des recruteurs observer Eyong lors des matchs de Levante. ([OneFootball via Ben Jacobs]). Pendant ce temps, le FC Barcelone reste fortement intéressé. Le club catalan voit en lui un successeur potentiel à Lewandowski et serait prêt à payer sa clause de 30 millions d’euros. Par ailleurs, Real Madrid est aussi mentionné dans le dossier. Les médias espagnols rapportent que Madrid surveille sa progression et pourrait intervenir si la clause l’autorise et si les conditions du marché le permettent.

Les enjeux d’un transfert : ambitions, risques et opportunités.

Son transfert de Villarreal à Levante a été négocié avec soin. Il a signé jusqu’en 2029 et sa clause de résiliation a été fixée à 30 millions d’euros. Des conditions contractuelles complexes incluent aussi le partage des revenus avec Villarreal selon les tranches de revente. Pour Levante, Eyong représente un atout sportif et une possible source de plus-value. En cas de vente future, les clauses négociées avec Villarreal et les anciens clubs sécurisent les retours financiers pour les différentes parties.

Pour le joueur lui-même, un transfert vers un club de premier plan pourrait signifier davantage d’exposition et de compétition, mais aussi la pression d’un rendement immédiat. Il lui faudra justifier cette confiance par des performances constantes.