À quelques jours du lancement de l’African Open de Judo, prévu du 21 au 23 novembre 2025, la ville de Yaoundé s’apprête à devenir la capitale continentale de la discipline. Sous la conduite de son président, Me Alain Kingue, la Fédération camerounaise de judo (FECAJUDO) peaufine les derniers détails pour accueillir cette compétition majeure.
Une organisation déjà bien avancée.
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Pour cette huitième édition organisée au Cameroun, les préparatifs avancent sereinement. Me Alain Kingue se veut rassurant : les volets techniques, logistiques et administratifs sont presque entièrement finalisés. Selon lui, toutes les dispositions sont prises avec les autorités afin d’assurer un déroulement sans faille de l’événement.
Plus de 160 judokas issus d’une vingtaine de pays sont attendus dans la capitale. Le Palais des sports de Yaoundé, site retenu pour l’événement, sera entièrement aménagé pour offrir un cadre optimal aux compétitions. L’accès du public étant gratuit, les organisateurs s’attendent à une grande affluence.
Trois jours de compétition structurés par catégories.
L’African Open s’articulera autour d’un programme progressif :
👉21 novembre : journée dédiée à la promotion du judo junior ;
👉22 novembre : entrée en scène des cadets ;
👉23 novembre : place aux seniors pour la grande clôture.
Un rendez-vous stratégique pour le judo africain.
L’African Open constitue un passage obligé pour les judokas en quête de points au classement international et de repères en vue des prochaines échéances. L’objectif est double : viser les podiums et accumuler de l’expérience à ce niveau d’exigence.
La compétition sera également un baromètre important pour les nations participantes, qui y verront l’occasion d’évaluer leurs jeunes talents en préparation : de l’African Open d’Abidjan, des premiers Jeux de la Francophonie à Kinshasa, et des Jeux africains de la jeunesse de Luanda prévus en décembre.